(illustration de Bob Mueller)
Alors que le monde pleure la perte de Muhammad Ali beaucoup plus grand que les hommages ont été écrits que je peux reconstituer. Je vais laisser cela aux professionnels. Dans mon humble coin d’Internet, cependant, l’attribution est nécessaire pour célébrer les contributions importantes de Muhammad Ali au monde du droit du sport de combat.
La plus grande victoire juridique d’Ali a été une décision de la Cour suprême des États-Unis, concluant qu’il avait rencontré la classification de «l’objecteur de conscience» lorsqu’il a été intronisé aux forces armées et a finalement annulé sa condamnation pour crime Maillots Serbie pour avoir refusé de se soumettre à l’induction.
Dans le sillage de la condamnation d’Ali, il s’est systématiquement refusé les licences par les commissions de boxe aux États-Unis. Bien que cela lui ait volé les premières années dans son occupation professionnelle, il n’a pas pris ces refus allongés et se trouve ici l’une des deux contributions cruciales d’Ali au paysage juridique des sports de combat.
Ali a combattu la Commission sportive de l’État de New York, obtenant finalement une décision selon laquelle son refus de licence était «arbitraire et capricieux» avec l’incohérence et l’hypocrisie de la Commission publiées pour que le monde puisse lire.
Dans l’affaire (Muhanad Ali c. Division de la Commission sportive d’État, N.Y.), la commission a fait valoir qu’en tant que criminel alors condamné (comme son appel de la Cour suprême des États-Unis n’avait pas encore conclu), ils sont en raison de leurs droits de refuser son permis. Le tribunal a convenu qu’ils avaient exercé ce pouvoir avec cohérence et c’est là qu’ils ont échoué. En ordonnant que le permis d’Ali a été rejeté à tort, le tribunal a fourni les raisons accablantes suivantes:
À la suite du dépôt de la plainte modifiée, l’avocat d’Ali, exerçant ses droits de découverte préliminaire, a enquêté sur les dossiers actuels de la Commission dans le but de déterminer s’il avait autorisé d’autres boxeurs qui avaient été reconnus coupables de crimes ou d’infractions militaires. Les fruits de cette enquête sont plutôt étonnants. Les dossiers de la Commission révèlent au moins 244 cas au cours des dernières années où il a accordé, renouvelé ou rétabli des licences de boxe aux candidats qui ont été condamnés pour un ou beaucoup plus de crimes, de délits ou d’infractions militaires impliquant une turpitude morale. Quelque 94 criminels ainsi autorisés comprennent des personnes condamnées pour des activités antisociales telles que le meurtre au deuxième degré, le cambriolage, le vol à main armée, l’extorsion, le grand larcin, le viol, la sodomie, les voies de fait aggravées et la batterie, le détournement de fonds, les incendies criminels et la réception de biens volés. Les condamnations pour délit, au nombre de 135, concernaient des infractions telles que le pédaleur, la possession de stupéfiants, la tentative de viol, les voies de fait et la batterie, la fraude, la naissance de la morale d’une mineure, la possession d’outils de cambrioleur, la possession d’armes dangereuses, le transport d’armes cachées, Vol en automobile et promotion du jeu. Les 15 infractions militaires comprennent des condamnations ou des décharges déshonorantes pour désertion des forces armées des États-Unis, voies de fait contre un officier, cambriolage et vol. Sur la base principalement de ces dossiers incontestés, le demandeur demande désormais une injonction préliminaire.
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Si la commission de la présente affaire avait refusé des licences à tous les demandeurs reconnus coupables de crimes ou d’infractions militaires, le demandeur n’aurait aucune base valable pour exiger qu’une licence lui soit délivrée. Mais l’action de la Commission en lui refusant une licence en raison de son refus de servir dans les forces armées tout en accordant des licences à des centaines d’autres requérants reconnus coupables d’autres crimes et infractions militaires impliquant une turpitude morale apparaît en face d’être un intentionnel, arbitraire et Discrimination déraisonnable contre le demandeur, et non l’administration impartiale de la loi dont le quatorzième amendement exige. Yick Wo c. Hopkins, 118 U.S. 356, 373-374, 6 S.Ct. 1064, 30 L.Ed. 220 (1886). Il n’est pas suggéré qu’il existe une base rationnelle pour distinguer l’infraction d’un projet d’évasion pour l’étiquetage
[316 F.Supp. 1251]
«Conduisez préjudiciable aux intérêts de la Maillots Argentine boxe» tout en tenant que toutes les autres activités criminelles telles que le meurtre, le viol, l’incendie criminel, le cambriolage, le vol et la possession de stupéfiants ne sont pas si classifiés. Toutes les autres choses étant égales par ailleurs, le meurtrier, le cambrioleur, le violeur ou Maillots SC Braga le voleur condamnés semblent présenter un plus grand risque de corruptibilité en tant que boxeur agréé, et une plus grande probabilité de dénigrer la boxe, que la personne qui a ouvertement refusé de servir dans les forces armées. Nous trouvons encore beaucoup plus difficile de découvrir toute base rationnelle pour distinguer un déserteur des forces armées, à qui une licence de boxe a été approuvée par la Commission, et une personne qui refuse franchement en premier lieu.
Nous ne voyons pas non plus de base rationnelle pour refuser à Ali une licence parce que sa condamnation est «récente» (20 juin 1967), et il n’a pas encore purgé sa peine. L’affirmation de la Commission selon laquelle la récente condamnation d’Ali fournit une base appropriée pour lui refuser une licence est sans fondementnull